Rappelez-vous, c’était il y a deux ans...
Et c’est toujours aussi bien ! Discuter de Sao-Tomé avec des chocolatiers, trouver enfin de la farine de petit épautre et tout savoir sur le porc noir de Bigorre (et ses cousins d’Italie et d’Espagne) ça ouvre des perspectives gustatives jusqu’alors ignorées...
On n’y vient pas nécessairement pour faire le plein de victuailles (ou alors avec un banquier certifié triple A) mais surtout pour s’informer et discuter le bout de gras (et c’est le cas de le dire, n’est-ce pas “le Noir de Bigorre” de Tarbes avec qui j’ai eu un super échange !).
Un résumé en photos, ça vous dit ?
En un seul mot : courézy, foyalé !!! Encore pour demain Dimanche, sinon c’est rendez-vous dans deux ans...
Sous le plus grand chapiteau du goût
Ben mon cochon...
Et ouais, c'est pour moi...
On peut saluer tous les exposants "sentinelles" pour leur volonté de conserver le terroir. Le slow-food (inverse du fast-food) pour cette farouche aversion du nivelage du goût...
C'était Épine Noire, pratiquement en direct de l'EUROGUSTO 2011.
Et pour le "off" :
Entendu dans les allées, une “bobo” s’exclamer : “Mais ce sont de vrais Sardes !?”(nan, ils sont empaillés !) sur un stand de charcuterie de Sardaigne, ça vaut son pesant de nougat. Et de l’entendre enchaîner bien fort en italien son laïus de touriste (à deux pas du stand de la Dante Alighieri rhinhinhin), quelle stronza ! (ouais moi aussi j’le cause le rital...)
Et la parisieneuh qui assène un “ il fait plus froid en province qu’à Paris”. Mais reste à Paris, tronza !
Bref, deux heures à arpenter cet Eurogusto et c’est un vrai régal...